À une époque non lointaine, la ride, le sillon nasogénien, le regard, le front, la chevelure, les bourrelets étaient traités avec uniquement de la chirurgie esthétique. Aujourd'hui ?
La médecine est arrivée en même temps que la dermatologie esthétique jusqu'à se démocratiser et touchant une population de plus en plus large: plus jeune, plus masculine, et moins populaire.
Le marché progresse par ailleurs grâce à des techniques toujours moins invasives et plus précises en minimisant le plus possible l'effet secondaire.
Pourquoi un tel engouement ? génération complexe ? époque de surexposition médiatique ? malheureusement en oubliant trop souvent que le plus est l'ennemi du mieux…
À cela nous entendons ce besoin d'obtenir toujours plus jusqu'à l'excès, l'overdose au risque de dénaturer un visage, ou d'abimer les tissus. C'est exactement cela que le centre Cleor se refuse, toute tentation qui ne serait naturelle. Car la beauté c'est aussi la préservation des émotions, du dynamique puisque l'inverse de la vie serait le statique…
Nous ne sommes pas en 2D mais en 3D, notre visage et notre corps sont faits de reliefs, d'aspérités, de creux, de volumes même si nous pouvons les atténuer ou au contraire les accentuer.
Les interventions les plus courantes sont les injections de Botox ou d'acide hyaluronique, le raffermissement de la peau, l'amélioration de l'éclat.
Que disent nos patients quand ils sortent ? Qu'ils ne se sentent plus complexé, d'autant plus que les résultats sont beaucoup plus discrets qu'avant. Les appareils nous accompagnent au quotidien, comme la radiofréquence, la lumière pulsée ou la cryolipolyse.
Qui a dit que corriger un complexe pour améliorer son estime de soi était négatif ? Tout est une question d'angle de vue, de regard et d'observation sur le monde, la beauté et surtout sur l'être humain.